7éme étape la samedi 15 juin Valdeblore Menton Cap Martin 98kms 2191m
de dénivelé.
de dénivelé.
Déjà la dernière
étape, après une bonne nuit réparatrice
pour les organismes durement éprouvés par ses 6 jours de traversée des Alpes, le
groupe avait le choix entre 2 parcours,
et c’est pour le plus long et avec le plus de dénivelés qu’il a opté,
preuve, qu’ils n’en avaient pas assez fait.
Le départ fut très laborieux, les
roues des vélos avaient beaucoup de
mal, à rester gonflées, Gilles a dû jouer de la pompe à pieds quatre fois.
Enfin, le groupe s’élance dans les trois derniers kilomètres du col de St
Martin 1503 m,
avec Gérard Didier et Rémi, seul Alain qui souffre du dos a fait
le chauffeur avec moi. Après le
ravitaillement d’usage pour le repas du midi, nous avons retrouvé nos cyclistes
qui venaient d’effectuer 25kms de descente, dans les premiers lacets du
Turini. Une chaleur accablante preuve que nous étions déjà dans un climat
méditerranéen, faisait souffrir les organismes qui
avaient eu des températures beaucoup moins clémentes jusqu’à maintenant. Un col
long de18kms très régulier dans les pourcentages 7 à 8% et heureusement assez
bien ombragé. Gérard a arrêté au milieu de l’ascension, la chaleur était
suffocante. Tout le monde est arrivé au sommet et Didier a eu le droit a une
HOOOLAA. Nous nous sommes arrêtés au début de la descente du Turini pour faire
le pique-nique, et une partie de boule, où nous avons mis la pattée à Bernard
Fred et Rémi.
étape, après une bonne nuit réparatrice
pour les organismes durement éprouvés par ses 6 jours de traversée des Alpes, le
groupe avait le choix entre 2 parcours,
et c’est pour le plus long et avec le plus de dénivelés qu’il a opté,
preuve, qu’ils n’en avaient pas assez fait.
Le départ fut très laborieux, les
roues des vélos avaient beaucoup de
mal, à rester gonflées, Gilles a dû jouer de la pompe à pieds quatre fois.
Enfin, le groupe s’élance dans les trois derniers kilomètres du col de St
Martin 1503 m,
avec Gérard Didier et Rémi, seul Alain qui souffre du dos a fait
le chauffeur avec moi. Après le
ravitaillement d’usage pour le repas du midi, nous avons retrouvé nos cyclistes
qui venaient d’effectuer 25kms de descente, dans les premiers lacets du
Turini. Une chaleur accablante preuve que nous étions déjà dans un climat
méditerranéen, faisait souffrir les organismes qui
avaient eu des températures beaucoup moins clémentes jusqu’à maintenant. Un col
long de18kms très régulier dans les pourcentages 7 à 8% et heureusement assez
bien ombragé. Gérard a arrêté au milieu de l’ascension, la chaleur était
suffocante. Tout le monde est arrivé au sommet et Didier a eu le droit a une
HOOOLAA. Nous nous sommes arrêtés au début de la descente du Turini pour faire
le pique-nique, et une partie de boule, où nous avons mis la pattée à Bernard
Fred et Rémi.
La descente du Turini fut un moment
incroyable par le nombre de lacets très rapprochés et avec de très forts
pourcentages et des paysages de toute beauté. Au moment de prendre le col de
l’Orme, à notre très grande surprise, il était fermé, une course de côte avec
des prototypes avait lieu. Nous avons
improvisé un parcours de délestage malheureusement dans le bruit des voitures
de compétitions qui passaient sur la route à grandes vitesses. Nous avons fini
par retrouver notre hôtel du bord de plage, ou, nous y attendez Christian, qui
nous a gentiment offert un pot. Fred, J. Jacques, Rémi Alain et moi avons piqué
une tête dans la mer, avant de prendre notre apéro concocté par Alain et Rémi.
Nous avons fini la soirée dans un des nombreux restaurants de bord de mer, ou
les anecdotes de la semaine ont été évoquées, avec de franches rigolades et une
ambiance qui laissera à tous un souvenir de moments heureux. Pour ma part je
tire un grand coup de chapeau aux participants de ce périple, qui n’est pas à
la portée de tout le monde, et, me peut être accompli que par des sportifs de très
bon niveau.
PJ
incroyable par le nombre de lacets très rapprochés et avec de très forts
pourcentages et des paysages de toute beauté. Au moment de prendre le col de
l’Orme, à notre très grande surprise, il était fermé, une course de côte avec
des prototypes avait lieu. Nous avons
improvisé un parcours de délestage malheureusement dans le bruit des voitures
de compétitions qui passaient sur la route à grandes vitesses. Nous avons fini
par retrouver notre hôtel du bord de plage, ou, nous y attendez Christian, qui
nous a gentiment offert un pot. Fred, J. Jacques, Rémi Alain et moi avons piqué
une tête dans la mer, avant de prendre notre apéro concocté par Alain et Rémi.
Nous avons fini la soirée dans un des nombreux restaurants de bord de mer, ou
les anecdotes de la semaine ont été évoquées, avec de franches rigolades et une
ambiance qui laissera à tous un souvenir de moments heureux. Pour ma part je
tire un grand coup de chapeau aux participants de ce périple, qui n’est pas à
la portée de tout le monde, et, me peut être accompli que par des sportifs de très
bon niveau.
PJ
6ème Étape Barcelonnette Valdeblore 123 kms 3578m de dénivelé.
Avant dernière étape et surement la plus difficile avec 4 cols à franchir, et la fatigue accumulée au fur et à mesure des autres étapes. Les organismes sont bien éprouvés. Rémi ne remontera pas sur son vélo, une tendinite au genou, son frère Alain après sa chute à des douleurs dans le dos ce qui l’oblige à déclarer forfait. Le groupe amputé de deux éléments s’est élancé du centre de Barcelonnette vers le col de la Cayolle. Plus de 30 kms d’ascension, le départ plutôt roulant, mais au fil des kilomètres la route s’élevait avec des pourcentages entre 6 et 8% et un vent de face qui compliquait la progression du groupe. Après le passage du col, des virages impressionnants et une vue magnifique sur la vallée. Nous nous sommes arrêtés pour un pique-nique bien mérité. Après une longue descente, le col de Valberg 1662m d’altitude avec 8 kms à 8% avant le remonter sur le col St Anne. Plusieurs ravitaillements en eau et en bananes par le staff technique des frères Lecornu avec un accompagnement à l’harmonica et blagues salaces. Gérard a enfourché son vélo à la moitié du col de la Couillole. Il finit le parcours à 3 kms du sommet du col de St Martin où se situe l’auberge des Mures, après avoir fait une ascension de 11kms à 8% avec le reste du groupe
5ème Étape La Salle les Alpes Barcelonnette 110kms 2808m de dénivelé.
Aujourd’hui est une étape redoutée par le groupe au vu de la difficulté avec un col hors catégorie l’Izoard 2356m et un col de 1re catégorie le col de Vars 2019m.
Après la photo avec les propriétaires du gîte ou nous avons été reçus d’une manière très chaleureuse, le groupe s’est élancé sous un soleil éclatant, mais les coupes vent étaient de rigueur, car la température était relativement fraiche.
Briançon traversé, le col de l’Izoard s’offrait à nos valeureux cyclistes. La route s’élevait rapidement et Laurent Bernard et Fred attaquaient le col à une allure soutenu, dernier Patrick ne perdait pas trop de terrain. Un peu plus bas les couples s’étaient formé Gilles et Alain montaient de paire, et à quelques encablures J. Jacques et Rémi. En haut de l’Izoard, nous nous sommes regroupés pour la photo de circonstance, et un peu plus bas nous avons à nouveau fait une photo devant la stèle de Fausto Coppi et Louison Bobet.
À Brunissard nous avons fait le pique-nique, les gars en ont profité pour faire trempette dans un baquet ou une eau à 5 degrés sortait d’une source un moment de franche rigolade avec une super ambiance et un excellent état d’esprit.
Après la descente jusqu’à Guillestre, la route s’élève de nouveau dans des pourcentages de 8 à 9% sur 8kms avant un replat et à nouveau de 6 et 7% sur les 8 derniers kilomètres. La chaleur pour la première fois faisait souffrir les organismes. Durant l’ascension Rémi mettait pied à terre, une douleur au genou l’empêchait de poursuivre l’ascension du col. Le groupe s’est à nouveau éparpiller, Bernard, Fred, Laurent, et Patrick. Patrick était dans une forme éblouissante. Tout le monde s’est regroupé au sommet et a entamé une descente vertigineuse de plus de 30 kms filmée par J.Jacques. Nous sommes arrivées à Barcelonnette vers 17h à l’hôtel du Cheval Blanc.
Enfin, le soleil tant attendu était au rendez-vous ce matin dans la Maurienne.
Après une bonne nuit et un petit déjeuner très copieux, le groupe s’est élancé à 9h15.
Comme d’habitude Gérard et moi , avons fait les provisions pour le repas du midi.
Dans une descente juste avant St Jean de Maurienne, Alain a fait une chute sans gravité, quelques éraflures et sa roue arrière hors d’usage. Le groupe a attaqué le col du télégraphe à un rythme plutôt sage ce qui a permis une ascension assez homogène.
Après Valloire, nous avons trouvé un coin avec des tables, pour pique niqué sous un soleil radieux. Une grande première Didier a enfin enfourché son vélo pour s’attaquer au Galibier, col hors catégorie, l’altitude 2642m, et 17 kms à plus de 7 à 8%. Encore une fois, ils ont fait une ascension assez compacte, et au sommet il y avait peu d’écart entre le premier et ceux qui fermaient la marche. La descente du Galibier et du Lautaret s’est effectuée sans dommage et à une allure soutenue. Arrivée au gîte « le Châlet des Touristes » Fred avait encore des envies de sommets, il est parti avec Gérard grimper le Granon 2413m 11kms d’ascension avec des pourcentages entre 8 et 11% . Au bout de quelques lacets, Gérard est redescendu, tandis que Fred poursuivait son périple jusqu’au sommet.
C’est dans un cadre rustique, mais très sympathique que nous avons passé la soirée avec un repas donc les plats étaient pleins de senteurs des Alpes.
3ème étape St Jean de Maurienne Villarodin Bourget 103 Kms 2813m de dénivelé.
C’est par un temps sec que notre équipe a entamé son périple avec d’entrer de jeu l’ascension du col de l’Iseran en passant par Tigne et Val d’Isère. En sortant de l’Hôtel une montée pendant 6 kms a plus de 10% petite descente et 37 kms non-stop de montées avec une température qui baissaient au fur et à mesure de notre ascension. C’est avec détermination qu’ils ont abordé cette difficulté Gilles était partie 20 minutes avant le groupe, et il ne se fait reprendre que dans les derniers kilomètres par Bernard et Laurent. Nos cyclos ont fini les dernières rampes du col entouré de murs de congère parfois de plusieurs mètres. Malgré le vent, et la pluie qui commençait à tomber, nous avons pris le temps de faire une photo, avant d’entamer la descente jusqu’à Bonneval sur Arc. Un casse-croute bien mérité avant de continuer la route, avec malheureusement la pluie qui c’est invité de nouveau. Didier s’est joint au groupe à ce moment-là.
Afin d’éviter la nationale, nous avons suivi la route des crêtes avec une succession de côtes avec de bons pourcentages. C’est dans un Gîte remarquable que nous avons pris nos quartiers pour une bonne soirée avec un repas bien mérité.
Lien Strava étape 3 :
Lien Strava étape 3 :
2éme étape Saint-Jean de Sixt Bourg Saint Maurice 100 Kms 3066 m de dénivelés.
Après une bonne nuit réparatrice à l’hôtel Beau Site, Fabrice Pennasse est reparti vers ses obligations familiales, heureux d’avoir partagé la première étape avec nous. Le groupe s’est élancé dans le col des Aravis sous un ciel menaçant. Pendant ce temps Gérard et moi allions faire le ravitaillement à la Clusaz. Le groupe est monté sans rencontrer de pluie dans un rythme assez soutenu et après une belle descente a entamé le col plutôt roulant des Saisies 1655m. C’est sous une pluie battante qu’ils ont fini l’ascension du col et entamé une descente avec une route détrempée. À la sortie de Beaufort, nos neuf valeureux cyclistes ont pu reprendre des forces avec un pique-nique bien mérité. Ils se sont élancés à l’assaut du col de Mairaillet 1605m sur des pentes à 8 et 10% arrivée au sommet le groupe a essuyé un orage qui les a contraints à se réfugier sous un abri de fortune. Après l’orage, Gérard a enfourché pour la première fois son vélo pour l’ascension du Cormet de Roselend 1968m sous un soleil timide avec des vues magnifiques sur le lac. Arrivée à Bourg St Maurice, l’équipe à attaqué le col du St Bernard sur 6kms pour rejoindre le Gîte les Balcons du Molliebon il était 16H30 et Fred, Laurent et Bernard ont décidé de faire la montée du petit St Bernard, il restait 25 kms d’ascension sur des pentes à 5 et 7%. C’est sous un déluge de pluie de vent de grêle et de froid 2 à 3 degrés qu’ils sont arrivés au sommet, après une crevaison au dernier kilomètre. C’est grelotants de froid qu’ils se sont engouffrés dans le véhicule après avoir passé plus de 8 heures sur le vélo 130 kms et 5 cols et 4200m de dénivelé. Un grand bravo a eux. C’est dans un gîte chaleureux que l’ensemble du groupe a repris des forces pour une nouvelle étape.
Lien Strava étape 2
Lien Strava étape 2
Etape Thonon-les-Bains St Jean de Sixt 100Kms 2833m de dénivelé.
C’est avec une excitation générale que le groupe du CCBF s’est élancé à l’assaut de la première étape de la traversée des Alpes, malgré une pluie battante qui n’a pas entamé le moral du groupe.
Dès la première étape, le menu était copieux avec trois cols et des pourcentages bien supérieurs à 10% . Ils ont enchainé le col Jambaz 1027m, Col de Châtillon 743m, et le col de la Colombière 1613m sous des trombes d’eau.
Après un ravitaillement en haut du col de Romme à mi-parcours, dans un abri précaire, le groupe est arrivé à St Jean de Sixt à l’hôtel Beau site pour un repos bien mérité.
Après un ravitaillement en haut du col de Romme à mi-parcours, dans un abri précaire, le groupe est arrivé à St Jean de Sixt à l’hôtel Beau site pour un repos bien mérité.
Bien arrivée à l’hôtel des Marronniers de Thonon les bains